Sciences, histoire et littérature : telles sont les clefs de l’érudition et du progrès.
S’il est aujourd’hui célébré en tant que père fondateur historique de l’université qui porte son nom, une grande partie de la vie de Charles Woodlock reste encore nimbée de mystères.
Né en 1829 à Paris d’une mère française et d’un père chypriote, Charles Woodlock, né Charles de La Forge, a grandi dans la capitale française au sein d’une famille modeste. Ses années adolescentes nous sont largement inconnues. On ne retrouve sa trace dans les archives qu’à partir de l’année 1858, date à laquelle il pose bagages dans l’état de New-York, comme tant de jeunes hommes rêvant du Nouveau Monde. Ambitieux et désireux de se faire connaitre des puissants américains, il change de nom et devient Charles « Woodlock ». Il fait fortune en peu de temps dans la métallurgie et entreprend la création de l’université qui portera son nom, dans le but de former les futures élites du pays.
Au-delà des ambitions résolument philanthropiques de Woodlock, c’est le culte du secret qu’entretenait l’homme qui explique la fascination encore vivace qu’il suscite. Féru d’énigmes, fin linguiste, il est aussi un adepte de cryptologie, pratique venue de ses ancêtres, parmi lesquels on compterait l’humaniste Corneille Agrippa. Fier de cet héritage, Woodlock mena lui-même une vie de philanthrope, se revendiquant « d’une disposition naturelle à tirer le meilleur des hommes en mettant leurs plus profondes qualités au service de l’humanité».
Lorsqu’il apprend être touché d’une pneumonie, sa dernière volonté sera de faire dresser une statue à son effigie au centre de l’université, ainsi qu’un portrait de lui dans chaque bâtiment du campus. Il mourra deux semaines plus tard, plein d’espoir pour l’avenir du pays.
C’est de ces dernières volontés que sont nées les rumeurs d’une société secrète. Selon certains, elle aurait été créée par Woodlock afin de former les politiques et diplomates de Washington. En l’honneur du pays natale de son père, Chypre, il aurait choisi le cuivre comme emblème de sa société, inspiré de leur étymologie grecque commune « cyprium ».
Bien évidemment, nombreux sont les historiens qui débâtent encore de l’existence ou non de cette société dite « Du Cercle de Cuivre » et dont pourraient être issus plusieurs présidents, juges et sénateurs du pays. Pourtant, depuis sa mort, pas moins de 12 directeurs et directrices se sont installés au Domaine De Vinci, le bureau de direction historique de Woodlock, et tous réfutent l’existence d’un tel groupe.
Quoi qu’il en soit, société secrète ou pas, Woodlock n’a fini de faire résonner son nom dans les sphères d’influence des Etats-Unis d’Amérique.
Notre Université a été créée pour former les élites de Washington. Cela ne peut se faire qu’avec un sens aïgu de l’exigence et de la qualité.
La Loyauté est un des piliers de nos valeurs. Plus que des camarades, ce sont de véritables sœurs et frères que vous rencontrerez. Entraide, humilité et noblesse d’esprit sont de rigueur.
Nous formons les décideurs de demain. Il est indispensable que nos étudiants aient une compréhension du monde qui les entoure, ainsi que des rapports de force en jeu. L’ouverture d’esprit, la curiosité et l’envie de créer un monde meilleur pour tous, notamment des plus fragiles est notre driver.